Le maintien du couvert forestier (avec ou sans récolte de bois) permet à ces bénéfices de perdurer dans le temps. En contrepartie, la conversion du couvert forestier pour l’expansion urbaine génère des coûts, car il faut compenser les bénéfices perdus par des infrastructures humaines. Par exemple, une réduction de la purification des eaux exigera de nouvelles ou plus performantes stations d’épuration. Certaines études ont d’ailleurs démontré qu’il était moins coûteux de restaurer des milieux naturels que de créer des stations d’épuration.