Permettre à des chiens de se promener sans laisse contribue à endommager des écosystèmes fragiles comme des forêts urbaines, soutiennent deux scientifiques interrogés par Le Devoir. En sortant des sentiers, les chiens piétinent les jeunes pousses d’arbres et les plantes indigènes, ce qui nuit à la régénération des forêts et contribue à l’apparition d’espèces envahissantes.

(Crédit photo : Adil Boukind, Le Devoir)

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Une PME québécoise et un groupe de chercheurs pourraient avoir trouvé une solution pour s’attaquer au problème de rejets de «contaminants éternels» par les sites d’enfouissement dans les rivières. Ces polluants, connus sous le nom de PFAS, sont présents dans le lixiviat des dépotoirs. L’utilisation des saules permettrait de décontaminer les eaux usées.

(Crédit photo : Envato)

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Une étude réalisée par la chercheuse et son équipe, publiée dans Nature Communications Biology, a démontré que plusieurs facteurs tels que l’acidité du sol, la présence de certains champignons et même la distance avec les arbres matures influencent la croissance de l’érable à sucre. Comme le décrit la professeure Isabelle Laforest-Lapointe : « Le but fondamental de nos recherches est d’aider à la compréhension de l’adaptation de l’érable à sucre dans le temps au changement climatique. »

(Crédit photo : Michel Caron, Université de Sherbrooke)

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Deux sangliers en liberté ont été aperçus par des citoyens, le 25 juin dernier, alors qu’ils gambadaient allègrement sur le chemin Alfred-Desrochers, au Canton d’Orford.

(Crédit photo : Le Reflet du Lac)

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Un investissement de près d’un million de dollars a permis d’aménager ce qui serait le tout premier stationnement écologique à Trois-Rivières. Le projet qui en branle depuis quatre ans et qui est situé derrière la Maison de la solidarité a été inauguré mercredi avant-midi.

(Crédit photo : Stéphane Lessard, Le Nouvelliste)

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Une toute nouvelle réserve naturelle voit le jour en bordure du parc national du Mont-Orford. Une nouvelle qui survient alors que la région estrienne est celle «où l’on concentre le plus grand nombre de projets de conservation sur une aire naturelle».

(Crédit photo : Corridor appalachien)

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